Sous la Direction du Projet de Promotion des Assurances Climatiques Indicielles, j’étais face à la délégation tchadienne dans la grande salle de l’Agence Nationale de la Météorologie du Burkina Faso présenté les défis d’une étude faisabilité de mise en place d’une assurance climatique indicielle dans un pays en quête d’une solution de vulnérabilité des populations agricoles face aux effets néfastes des variabilités climatiques sur les rendements agricoles. Le renforcement des capacités des acteurs de ce secteur est une nécessité dans la recherche d’une solution viable et durable. Il est nécessaire pour nos États africains pour la réussite de ce secteur de procéder non seulement à une subvention des primes mais aussi à une défiscalisation de ces primes. Ensemble, nous pouvons faire bouger les lignes pour une agriculture plus résilience.
